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Fob Paris lance la campagne We are Time Explorers

La marque horlogère parisienne FOB PARIS lance une nouvelle campagne qui interroge sur notre perception du temps et du futur – We are Time Explorers.

Pour accompagner ce lancement, FOB PARIS a réalisé un sondage sur la perception des français concernant le temps et le futur avec Opinion Way.

Un rappel au claim de la marque «  We are Time Explorers » pour interpeller à la manière de « Black Mirror » sur notre avenir et notre perception au temps.

3 thématiques de la campagne, retranscrites dans le sondage : 

  • La politique fiction devient progressivement réalité
  • Nouvelles frontières en amour 
  • La révolution dans les assiettes

Les résultats du sondage

Dans un sondage Opinion Way pour le studio d’Horlogerie FOB PARIS, il apparaît que 74% des Français estiment se retrouver aujourd’hui en pleine science fiction.

 Algues, fleurs et graines devraient bientôt composer l’ordinaire de l’assiette pour 63% d’entre eux. Quasi exclusivité des rencontres amoureuses par des applis ou des sites pour un français sur trois. Et élection d’une femme Présidente de la République plausible pour 81% des Français. Pour autant 75% des français sont incapables d’envisager un(e) Président(e) de la République de confession musulmane.

Visuels diffusés en digital et affichés dans les rues de Paris à partir du 1er novembre.

 C’est pourtant l’une des projections proposées par la marque d’horlogerie dans sa campagne « We are Time Explorers » en digital puis en affichage sur les murs de la capitale à partir du 1er novembre.

 « We are Time Explorers », une campagne d’affichage qui nous invite à questionner notre perception du temps et du futur.

 En brisant à nouveau les codes classiques de l’horlogerie, FOB PARIS donne corps à sa signature « We are Time Explorers » et lance le 1er novembre une campagne d’affichage qui questionne.

Pour cette première prise de parole en tant que marque, la campagne est un appel à la réflexion et à l’exploration du futur. Une série de trois tableaux sans parti-pris et une volonté d’interpeller, à la manière de la série Netflix « Black Mirror », sur notre futur et notre perception du temps autour de trois thématiques :

  • Le lien entre politique et religion avec une femme musulmane Présidente de la République en 2030 ;
  • Les relations amoureuses à l’heure de l’intelligence artificielle et de la robotisation ;
  • Quelle nutrition pour demain avec le sandwich aux fleurs.

« Ces visuels sont une incitation au voyage et à l’exploration et ne veulent pas se poser en donneur de leçon ou défendeur d’une quelconque morale. Ces utopies, uchronies, dystopies, abordent des sujets qui touchent toute une génération partout dans le monde. Qu’est ce qui appartient au passé ? Au présent ? Au futur ? La distinction n’est pas toujours évidente. Cette compréhension de la réalité est un des partis pris de FOB PARIS. Nous naviguons sur la dimension temps et nous créons en confondant passé, présent et futur. » rappellent les co-fondateurs de FOB PARIS.

“ We are Time Explorers ” le manifeste des fondateurs

« Présent dans 40 pays à travers 150 points de vente parmi les plus prestigieux, et, en novembre 2019, dans notre propre boutique à Paris, FOB PARIS, studio français d’horlogerie s’impose depuis 7 ans comme une marque incontournable du paysage horloger français.

À l’origine de la marque, la volonté de redynamiser l’horlogerie française. Une réinterprétation moderne des codes de l’horlogerie traditionnelle, une influence prégnante de la création mode, une image de marque soignée et déroutante. Avec pour résultat quatre collections, de montres automatiques et solaires, fabriquées en France et un produit iconique – la montre de gousset réinventée.

Notre histoire s’écrit autour du concept WE ARE TIME EXPLORERS, fil conducteur des créations de FOB PARIS : des pièces intemporelles qui empruntent au passé, au présent et au futur, qui se déjouent de la chronologie d’un temps linéaire.

Ingénieurs de formation et scientifiques dans l’âme, nous avons plaisir à considérer l’horlogerie comme une discipline dont la matière première est le temps, à qui, pour nous, l’horloger donne corps et en propose une représentation.

Première prise de parole en tant que marque, cette campagne est un appel à la réflexion et à l’exploration du futur. Une série de trois tableaux sans parti-pris et une volonté d’interpeller. Quelles réactions suscitent ces images ? Quelles réflexions ? Qu’est-ce que nos réactions disent de notre vision de la société ? De nos aspirations quant à son évolution ? Est-ce réel ? Est-ce de la science-fiction ?

Le passé influence le présent. La création s’inspire du passé et les modes sont cycliques. Mais le futur influence aussi le présent.

À l’instar des milliardaires de la Silicon Valley nourris aux oeuvres de science-fiction, notre projection du futur a un impact direct sur la direction de nos évolutions technologiques et sociétales. La science-fiction, en préparant la société à l’acceptation – ou au rejet – des directions possibles, impacte directement notre présent. Et souvent, tend à se confondre avec la réalité.

Cette compréhension de la réalité est un des partis-pris de FOB PARIS, qui navigue sur la dimension temps et crée en confondant passé, présent et futur. »

74% des français estiment se retrouver aujourd’hui en pleine science-fiction

En écho à sa campagne d’affichage, FOB PARIS publie un sondage Opinion Way réalisé pour le studio d’Horlogerie. Premier chiffre clef : 74% des Français estiment se retrouver aujourd’hui en pleine science-fiction. C’est « Retour vers le Futur » : il y a un sentiment grandissant que ce qui était de l’ordre de la science-fiction dans les séries, les films ou les livres de SF omniprésents dans la culture contemporaine, tend de plus en plus souvent à se produire à devenir réalité. De manière spectaculaire, c’est le Flyboard au défilé du 14 Juillet, l’exosquelette pour faire marcher un tétraplégique, mais plus généralement, c’est cette robotisation grandissante autour de nous qui touche tous les aspects de la vie de l’électroménager à l’amour.

Dans quels domaines l’emprise du futur semble-t-elle la plus forte pour les français ?

La politique fiction devient progressivement la réalité

Une femme élue Présidente de la République c’est désormais envisageable pour 81% des Français !

Ce sujet, dans un pays à évolution politique lente, semble être une véritable avancée.

Du point de vue de l’évolution des moeurs, plus d’un Français sur deux entrevoit aussi la possibilité d’un président homosexuel ce qui semblait impensable.

Pourtant, 3 Français sur 4 jugent invraisemblable l’accession d’un Président de confession musulmane à la présidence de la République.

Reste 1 Français sur 4 réceptif à un scénario à la Houellebecq dans son livre « Soumission ». La série de Canal + « Les Sauvages » actualise cette donnée d’un président de confession musulmane avec le comédien Roschdy Zem pour incarner le rôle. Une série comme « House of Cards » et le président Frank Underwood semblait assez prémonitoire de la présidence « Trump », ou « 24 heures Chrono » et le président Palmer de la présidence « Obama ». Et que penser du système de crédit social mis en place par le gouvernement chinois pour attribuer une note à chaque citoyen en fonction de son comportement, qui rappelle à beaucoup « Nosedive » l’épisode inaugural de la saison 3 de la série Netflix « Black Mirror ».

Enfin, c’est un peu la fin du métier de politicien pour un tiers des Français et particulièrement les jeunes (40% des 25-34 ans). Pour eux un chanteur, un animateur, un comédien peut très bien devenir Président de la République.

Chiffre choc, 45% des Français disent croire en l’avènement d’une figure autoritaire ou dictatoriale à la présidence comme si tous les scénarios catastrophes sont, à nouveau possibles.

« La politique, traditionnellement considérée comme un secteur à évolution lente, connaîtrait pour quasiment un Français sur trois une accélération de l’histoire », analyse le sociologue Ronan Chastellier.

De nouvelles frontières en amour !

L’amour est le domaine où la science-fiction est en train d’advenir, là où l’on a l’impression d’être déjà de plein pieds dans le futur.

Ce qui marque les esprits (1 Français sur 3 environ) c’est la proportion de rencontres amoureuses via des applis.

L’émergence d’un amour « transgenre » aussi pour un jeune sur trois (18-24 ans). À la question l’amour va-t-il être sur-déterminé par des algorithmes, les Français y croient très minoritairement (11%) contre 25% des jeunes qui eux, le pensent, tout comme l’intrusion des robots dans la vie amoureuse avec 10% des Français… mais presque 20% chez les jeunes.

« On se « rencontre » moins dans le réel que dans le virtuel si bien qu’un aspect un peu hallucinatoire ou fictif flotte sur les nouvelles relations amoureuses. Et la technologie renforce cette emprise sur les rencontres amoureuses avec des algorithmes, des échanges de datas, des calculs de compatibilité avant toute rencontre qui nous place d’emblée dans un monde un peu orwellien » estime Ronan Chastellier.

En alimentaire, pas de science-fiction dans nos assiettes !

Pour 62% des Français, l’alimentaire est ce qui semble connaître le plus d’innovations. Selon 63% des Français algues, graines, fleurs etc. devraient bientôt composer l’ordinaire de l’assiette.

Dans une projection à long terme des Français, exit aussi la viande car des steaks végétaux prendront le dessus dans l’alimentation, c’est ce que pensent 59% des Français.

Autre anticipation alimentaire dans l’esprit des Français (46% d’entre eux !), les insectes devraient avoir une part grandissante dans l’alimentation.

En revanche, les pilules alimentaires qui se substituent au repas ne sont pas franchement d’actualité dans un pays encore très soucieux de gastronomie sauf pour les très jeunes (28% des 18-24 ans), davantage enclins à modifier leur régime alimentaire de manière iconoclaste.

 « La viande héritée du mode alimentaire paléolithique paraît moins adaptée pour le futur où l’on entrevoit de nouvelles pistes comme les insectes ou le steak végétal. […] les Français assez néophobes en matière alimentaire ne sont pas encore prêts à plonger dans un film de science-fiction » poursuit Ronan Chastellier.

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