Tendance Évasion

The Unnamed Society x L’Epée dévoilent The Diamond

A l’occasion d’un évènement organisé à la galerie ART IN TIME à Monaco, The Unnamed Society x L’Epée ont dévoilé le second chapitre – The Diamond – d’une nouvelle catégorie d’objets hyper exclusifs qui redéfinissent l’art du cadeau unique, et porte l’expérience de la créativité, de l’esthétique et du savoir-faire artisanal à un très haut niveau.

The Diamond est une pièce unique qui offre une nouvelle appréciation du Temps.

Attaché à l’ambition de « rendre possible l’impossible », la seconde création de The Unnamed Society réinterprète le concept d’objet de mesure du temps de manière différente, une œuvre complexe d’art et de précision développé en collaboration avec L’Epée, qui fait appel à l’imagination et aux sens, offrant ainsi une nouvelle appréciation du temps à tous les niveaux. Fidèle à l’esprit de The Unnamed Society, l’objet est intemporel dans sa pureté d’intention et d’exécution.

The Diamond : Mais pourquoi le revolver ? Et pourquoi une horloge ?

C’est une horloge de table inspirée d’un revolver, une forme d’expression singulière pour donner l’heure : elle symbolise à juste titre la préciosité de la vie, et la vitesse à laquelle elle peut être volée. Il nous rappelle, sans doute plus clairement, la valeur inestimable qu’il y a à tenir compte de mots simples comme « Carpe diem ».

Le sertissage est réalisé par les ateliers Salanitro, référence et leader dans le domaine de la création des sertissages pour la Haute Horlogerie suisse. Design, construction technique, sertissage, l’horloge de table totalise 2’518 diamants pour un poids total de 78,26 carats et 21 tailles différentes de diamants. C’est un travail hors-norme représentant notamment 140 heures de construction technique, et plus de 300 heures de sertissage réalisé par 6 Maitres sertisseurs dans les ateliers situés au cœur de la ville de Genève.

Présentation en Première internationale à Monaco,
en partenariat avec la Galerie ‘Art in Time’.

Le serti « esprit neige » utilisé pour The Diamond, est une technique de sertissage particulièrement difficile et méticuleuse, à grains piqués, que seuls peu de Maitres sertisseurs maîtrisent sur une aussi large surface tout en conservant une belle et élégante homogénéité. Pour composer ce décor particulièrement raffiné, dont le dégradé sur le canon rappelle la fumée du tir, ils mettent en scène des centaines de diamants, tous taillés brillant, disposés comme aléatoirement, de tailles différentes, en laissant le minimum de métal entre les pierres. Le rendu est très sophistiqué. Une technique dans les règles de l’Art, considérée comme la Haute Couture du sertissage, qui assure une brillance et un éclat sans pareil. Elle représente l’une des plus belles manières de sublimer l’esthétique d’un objet, mariant sens artistique et excellence de l’exécution.

Quant à la crosse, elle est réalisée en émail-laque noire, une autre technique ancestrale qui nécessite un savoir-faire fait main, et une maîtrise particulièrement délicate.

The Unnamed Society x L’Epée,
une collaboration qui redéfinit l’art du cadeau ultra-exclusif.

Un écrin symbole d’exclusivité : la Galerie ART in TIME à Monaco

La pièce unique est présentée en Première internationale avec la Galerie ART in TIME à Monaco. La galerie est un haut lieu de la Haute Horlogerie dans le monde. Née sous l’impulsion de Karl-Friedrich Scheufele, la Galerie ART in TIME est un lieu au concept très novateur dans le monde de la Haute Horlogerie, qui a pour vocation de n’offrir que la quintessence de l’art horloger au cœur d’une scénographie épurée pour capter toute l’attention des amateurs de beaux objets.

Bénéficiant d’un emplacement d’une qualité incomparable, dans le nouveau complexe « ONE MONTE CARLO » face au Casino, ART IN TIME accueille les collectionneurs et amateurs d’art horloger en exprimant la volonté de n’offrir que le meilleur. En choisissant de présenter en Avant-première internationale l’horloge de table sertie avec The Unnamed Society et L’Epée, ART in TIME célèbre une horlogerie novatrice, des créations éditées en très peu d’exemplaires destinées à un public de collectionneurs et amateurs aux yeux avertis.

Quand l’histoire inspire un cadeau unique

César a traversé le Rubicon. Alexandre entra en Asie Mineure. Pancho Villa est allé au Texas. La raison pour laquelle l’histoire de Pancho Villa a trouvé un écho si particulier chez les créateurs de The Unnamed Society n’est pas seulement parce qu’elle s’écarte des sentiers battus. Pancho Villa est une légende née à une époque de grandes innovations technologiques : il avait deux ans quand Alexander Graham Bell a passé son premier coup de fil, et à peine onze quand George Eastman inventa la caméra Kodak.

Lorsque Pancho est devenu un acteur clé de la révolution mexicaine, le pouvoir de la communication par le son et l’image – de « l’ici et maintenant immortalisé » – était devenu aussi inévitable qu’irrépressible.

Pourtant, sans l’alignement de ces deux inventions sur une troisième qui avait déjà pris de l’ampleur, il n’y aurait sans doute jamais eu de Pancho Villa. Samuel Colt était déjà mort seize ans après la naissance de Pancho en 1878, mais son invention, un « concept de canon rotatif », avait déjà remodelé l’Ouest américain et commençait à façonner le reste du monde…

Toute révolution est fondée sur des valeurs

L’autre raison pour laquelle l’histoire de Pancho Villa se retrouve dans le premier chapitre de The Unnamed Society est que chaque révolution dépend au départ de l’intimité d’un petit groupe (dans le savoir), du secret (rien à découvert) et de la complicité (comme il est risqué de partager de vraies convictions, la confiance est si importante).

Plus les enjeux sont importants, plus il est difficile de faire partie du petit cercle intérieur. En décrivant Pancho Villa et la façon dont sa légende a grandi, John Reed, l’écrivain et journaliste qui a fait la chronique de Villa, a décrit la redoute du révolutionnaire à « El Passo » comme la « Loge suprême », presque un lieu auréolé où résidait l' »Ancien Ordre ».

Se battre et mourir pour la révolution, c’est entrer dans l’histoire comme une note tragique de bas de page. Se battre et mourir sous Pancho Villa, c’était vivre éternellement comme un « verdadero hombre », un vrai homme. Ce sentiment d’appartenir à quelque chose de plus grand que soi, de partager une complicité évidente mais secrète, et d’atteindre ce qui semble impossible est véritablement au cœur de The Unnamed Society.

Une série de photos exclusives prises à Monaco sur le yacht M/Y AFRICAN QUEEEN.

Donner vie à l’art : le mouvement signé L’Epée

Ce que Samuel Colt a révolutionné, c’est l’impact du temps quand il utilise une arme à feu : le revolver conférait le pouvoir de tirer sans interruption en éliminant le processus de rechargement manuel – et la vulnérabilité potentiellement fatale qui l’accompagnait.

Trois ans seulement séparent la fondation de la manufacture horlogère L’Épée et le brevet de Samuel Colt pour le cylindre d’indexation mécanique au cœur du revolver. Près de deux siècles plus tard, The Unnamed Society a demandé aux maîtres de l’art du temps de créer un chef-d’œuvre pour les amateurs de belles choses et les collectionneurs de son cercle secret.

L’Épée a été fondée en 1839, l’année de la naissance de John Davidson Rockefeller Sr., et Louis Daguerre qui a pris la première photo de la lune. Aujourd’hui, la société est basée à Délémont dans le Jura, berceau de la tradition horlogère suisse. Lorsque le groupe d’hommes composant The Unnamed Society a approché Arnaud Nicolas de L’Épée, il était clair que le bon partenaire avait été trouvé pour créer ensemble l’impossible jamais imaginé auparavant. Une âme sœur.

« Nous savions dès le début que nous travaillions sur quelque chose de vraiment spécial. Traduire la vision de l’équipe en un calibre horloger unique a été le défi de toute une vie et nous sommes tous très fiers du résultat, ici à L’Épée. Travailler avec le temps sous tous ses angles, historique, mécanique et esthétique, a rarement été aussi gratifiant », dit Arnaud Nicolas, CEO de L’Épée.

Arnaud Nicolas, CEO of L’Épée and Yohann Martinez, Director Art in Time Monaco

Pierre Salanitro, CEO de SALANITRO SA, a déclaré pour sa part : « Mettre la barre toujours plus haut, relever les défis les plus inimaginables… lorsque les créateurs de The Unnamed Society sont venus nous voir avec le projet de donner naissance à The Diamond, nous avons immédiatement saisi la complexité et le caractère inédit de la création. Nous avons proposé un design et un plan de construction totalement novateur, si ambitieux, que nous n’étions pas certains d’être capable de le réaliser. Défi relevé ! Le voir aujourd’hui exposé dans le plus bel écrin nous apporte une joie et une satisfaction non dissimulée. Nous sommes très fiers du travail accompli. »

Un nouveau canon pour l’art du don

Avec cette seconde création, The Unnamed Society présente une rare constellation du monde de l’art de collection : lorsque la beauté et la fascination brillent dans l’histoire, l’authenticité et le savoir-faire artisanal sont si soigneusement entrelacés pour « rendre possible l’impossible».

Sens aiguisés. Clarté de l’objectif. Discrétion absolue. Avec les mêmes traits que ceux du hibou, l’équipe d’inventeurs, de designers et d’artisans passionnés qui forment The Unnamed Society aspirent à créer l’impossible, et font ensuite de l’inimaginable une réalité. Ce qui les motive, c’est le défi de déverrouiller des désirs secrets et de créer l’impossible pour ceux qui ont déjà tout.

À propos de The Unnamed Society

Fondée en 2019 en Suisse, The Unnamed Society est une équipe d’inventeurs, de designers et d’artisans passionnés qui s’engagent à « créer l’impossible inimaginable » : des pièces hyper-exclusifs offrant une expérience qui transcende l’objet, réalisées avec des matériaux et des techniques de la plus haute qualité tout en étant fortement imprégnés de tradition, pour des collectionneurs qui participent à son cercle secret.

Soyez le premier à commenter !

Laisser un commentaire